24-09-2009

Imaginez un monde où la recherche ne serait plus une considération prioritaire… non seulement serions-nous prisonniers du passé, mais les personnes souffrant de maladies mentales seraient possiblement encore dans des centres appelés « asiles », jugées et marginalisées. Les scientifiques du Douglas, de renommée internationale, font progresser les connaissances à propos des causes des maladies mentales, développent de nouveaux traitements ainsi que des outils de diagnostic et identifient des mesures préventives des maladies mentales. (voir ci-après des citations de certains chercheurs)

La Fondation a offert 965 000 $ à l'Institut pour des travaux de recherche, une générosité qui a généré un effet de levier nous permettant de recueillir 18 649 230 $ d'organismes divers, nous classant ainsi comme le plus important centre de recherche en santé mentale au Québec et le deuxième au Canada. Ces fonds sont distribués dans quatre axes de recherche.

369 850 $ - Troubles de l'humeur, d'anxiété et d'impulsivité
Dépression, troubles de l'alimentation, bipolarité, troubles de stress post-traumatiques, suicide, toxicomanie : l'anxiété, le stress et les traumatismes déclenchent différentes formes de troubles dans un contexte biopsychosocial donné.

181 556 $ - Vieillissement et maladie d'Alzheimer
En proportion avec le vieillissement de la population, l'impact sur l'avenir de notre société sera considérable si nous ne trouvons pas de moyens plus efficaces de lutter contre la maladie d'Alzheimer et les autres formes de démence.

259 672 $ - Schizophrénie et troubles neurodéveloppementaux
Schizophrénie, autisme, troubles du déficit d'attention avec ou sans hyperactivité, les chercheurs de cet axe ont pour mandat d'identifier les déterminants génétiques, ainsi que les facteurs biologiques et psychosociaux liés à ces maladies.

153 922 $ - Services, politiques et santé des populations

Afin d'améliorer l'accès et la qualité des services à la population, nous acquerrons des connaissances sur les façons les plus efficaces d'organiser les services de santé mentale et sur les facteurs sociaux, culturels et économiques qui sont liés à ces problèmes dans notre société.