Ce laboratoire, dirigé par Gillian O’Driscoll, Ph.D., étudie l’aspect neurophysiologique de ce que l'on considère comme des « marqueurs de risque comportementaux » de la schizophrénie, c'est-à-dire des anomalies cognitives et comportementales fréquemment observées chez les patients schizophrènes et chez leurs parents, mais plus rares dans la population générale.

Des exemples de ces marqueurs sont les mouvements oculaires anormaux, les déficits d'attention, les déficiences de mémoire verbale et les symptômes infra-cliniques de type schizophrénique.

On présume que ces anomalies subtiles reflètent des différences génétiques de la fonction cérébrale qui sont liées à la schizophrénie et peuvent prédisposer le sujet à l'apparition de la maladie.

http://ego.psych.mcgill.ca/labs/odriscolllab/